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L'état Français souffre d'un certains nombres de  tares dont les principales sont énumérées dans les paragraphes suivants.

Addictions à la dette et aux prélèvements obligatoires

 Avec une dette qui avoisine les 200 % du PIB et un taux de prélèvements obligatoires de 57 %, la France est complètment bloquée Elle n'a aucune marge de manoeuvres pour sauver des entreprises en difficulté..

Roulement de la dette : cercle vicieux infernal

 Cette pratique qui consiste, chaque année, à rembourser  la dette arrivant à échéance par de la nouvelle dette, est comparable à une médecine qui soignerait les alcooliqu es leur donner une bouteille d'alcool.

Cette pratique régrétable est obligatoire depuis 2002 vu la réalité de nos com^tes publics.

Par contre de 1982 à 2002 elle aurait pu et dû être largement évitée et  ainsi mettre notre pays en position favorable comme l'a intelligemment fait l'Allemagne.

Au lieu de cela de 1982 à  10985

En l'occurrence les alcooliques sont les socialo-communistes qui rêvent

  • d'une France sans usine (ils l'ont dit)
  • et peuplée de fonctionnaires payés soit pas des impôts soit par le dette 

Mais avec une France sans usine

  • les entrés d'impôts sont et seront à la baisse
  • la seule ressource sera l'impôt qui deviendra introuvable

Le cercle vicieux  infernal est lancé 

  • chaque année les rentrées d'impôts baissent et le déficit augmente
  • jusqu'à la liquidation 
    • comme dans leur maison mère : l'URSS
    • dans des nombreux satellites Cuba 
    • et de nombreux pays d'Affrique et d'Amérique du sud qui ont cru à cette "religion" (croyance) mortifère. 

Seuls quelques pays intelligents se sont sortis (sorti de ce cercle vicieux) .

Prouve que, malgré les discours mensongers (propagandes l'intelligence n'est pas une qualité courante dans les régimes basés sur cette religion mortifère et abrutissante pour ses "fidèles" toujours hélas asséz nombreux pour propager le bêtise sur notre petit vaisseau spatiall ; la tette

Addiction à des idéologies marxistes mortifires

Utilisation de l'argent public pour "sauver" des entreprises non rentables et dont la sauvegarde s'avère peu de temps après être  des investissements  en pure perte.